La suspension consistait en huit galets imbriqués de chaque coté, avec des bandages en caoutchouc ou en tout acier à suspension élastique comme sur le Tigre II. Les 1er, 3e, 5e étaient devant, la disposition n'était pas symétrique. Mais cette suspension qui donnait à l'engin une excellente assise était d'entretient difficile, comme le remplacement des galets. celles avant et arrière possédant un amortisseur hydraulique), répartissaient la charge sur chaque chenille.
Ces dernières, constituées de 86 patins, étaient larges de 66 cm et en contact avec le sol sur une longueur de 3,9 mètres, permettant au char de n'exercer qu'une pression de 8,70 g/cm², ce qui lui conférait une bonne mobilité en terrain mou comme la boue, fréquente sur le front russe. La garde au sol était importante avec 56 centimètres et les capacités de franchissement étaient bonnes, avec 90 centimètres pour un obstacle vertical, 2,45 mètres pour une tranchée. Le char pouvait aussi guéer à 1,90 mètres et grimper des pentes à 35 degrés Ce système avait l'avantage d'une bonne répartition de la masse, mais était cause de graves difficultés d'entretien et de pertes de temps. Les chenilles étaient du type à maillon continu en acier embouti, avec double entraînement
omaha-2007, Posté le mardi 25 mars 2008 16:29
capacité de franchissement extraordinaire !