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LA MOBILITE

Cependant, son moteur était puissant, un Maybach HL 230 P30, un V12 à essence, refroidi par liquide, de 23,88 litres de cylindrée, donnant un maximum de 700 chevaux (520 kW) à 3000 tours par minute et un régime normal de 600 chevaux à 2500 tours. Entraînant une boîte de vitesse ZF AK 7-200 à sept rapports avant et un arrière (les derniers Ausf G auront des AK 7-400), il lui permettait d'atteindre une vitesse élevée pour l'époque, jusqu'à 55 km/h. Les barbotins situés à l'avant possédaient à la fois des embrayages tridisque à sec et des freins à disques hydrauliques Argus, qui permettaient un rayon de virage de 10 mètres. Un système électrique en 12 volts, avec deux accumulateurs de 120 ou 150 Ah, permettait le démarrage du moteur même par grand froid. La suspension était basée sur le principe classique des allemands, des barres de torsion, les ingénieurs de MAN ayant écarté l'emploi d'une suspension Christie, jugée moins efficace. Huit roues de route de grand diamètre entrecroisées, montées sur des doubles barres de torsions (celles avant et arrière possédant un amortisseur hydraulique), répartissaient la charge sur chaque chenille. Ces dernières, constituées de 86 patins, étaient larges de 66 cm et en contact avec le sol sur une longueur de 3,9 mètres, permettant au char de n'exercer qu'une pression de 8,70 g/cm², ce qui lui conférait une bonne mobilité en terrain mou comme la boue, fréquente sur le front russe. La garde au sol était importante avec 56 centimètres et les capacités de franchissement étaient bonnes, avec 90 centimètres pour un obstacle vertical, 2,45 mètres pour une tranchée. Le char pouvait aussi guéer à 1,90 mètres et grimper des pentes à 35 degrés. Cinq réservoirs avec une capacité totale de 730 litres, malgré une consommation importante de 365 litres aux cent kilomètres sur route et de 730 en tout terrain, permettaient d'obtenir un rayon d'action correct, respectivement de deux cents et cent kilomètres.
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#Posté le mardi 25 mars 2008 14:37

PROTECTION

Son blindage frontal, assemblé par emboîtage et soudure, de par son inclinaison et son épaisseur de 60 puis 80 mm, le rendait résistant aux coups des autres chars, tout en étant suffisamment léger pour lui permettre de conserver une mobilité suffisante, à l'inverse des modèles de Panzers plus lourds. Les autres cotés, cependant, étaient bien moins protégés avec une épaisseur de 45 mm, et le Panther restait plus vulnérable à une attaque par l'arrière et les flancs que le Tigre I. :Paroi avant de tourelle : 80 mm à 78° (Ausf. D), 110 mm à 78° (Ausf. A), 100 mm à 80° (Ausf. G) :Masque de canon : 120 mm :Parois latérales de tourelle : 45 mm à 65° :Paroi arrière de tourelle : 45 mm à 65° :Toit de tourelle : 15 mm :Plaque inférieure avant de caisse : 60 mm à 35° :Plaque supérieure avant de caisse : 80 mm à 35° :Parois latérales inf. de caisse : 40 mm à 90° :Parois latérales sup. de caisse : 40 mm à 50° (50 mm à 60° pour Ausf. G) :Plaque arrière de caisse : 40 mm à 60° :Toit de caisse : 15 mm :Plancher de caisse : 13 à 20 mm
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#Posté le mardi 25 mars 2008 14:40

la plage arriére

On y accédait par une large porte de visite ménagée au centre de la toiture du compartiment moteur, où se trouvaient aussi les orifices de refroidissement correspondant à chaque radiateur, avec leurs ventilateurs. L'échappement des gaz se faisait vers le haut à travers deux manchons fixés à la paroi postérieure du châssis. Presque toutes les variantes de série se caractérisaient par la présence de coffres à accessoires fixés sur les côtés des pots d'échappement. Le châssis était monobloc, usiné par soudure et renforcé dans ses parties vitales par des encastrements.

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#Posté le mercredi 26 mars 2008 05:48

Modifié le mercredi 02 avril 2008 11:55

L ABITACLE

Le radio-mitrailleur prenait place à sa droite. Son arme passait par une tape verticale occultable, ou bien se trouvait montée sous casemate sphérique (types A et G). L'équipement radio était installé sur la droite, dans l'excroissance en surplomb sur la suspension. La boîte de vitesse à sept rapports tous synchronisés était logée entre les deux sièges. Les groupes réducteurs des barbotins se trouvaient face à ceux-ci, à l'avant. La direction était commandée par des freins à disque Argus et assistée par des épicycloïdes à engrenages
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#Posté le mercredi 26 mars 2008 06:31

L ARMEMENT

le systéme d arme principal du panther était le redoutable canon kwk 42 l/70 de 7,5 cm il était susceptible entre autres, de percer le blindage frontal d un cherman a 1000 mètres ou d un T34 a 800 métres .dans la tourelle construite conjointement avec lui par rheinmettal -borsig a dusseldorf il bénéficiait d une élévation maxi de 20 °pour une dépression de - 8 ° le pointage en direction était bien entendu possible sur 360 °.le long tube de 5 250 mm a une partie rayée 32 fois , a droite . la longueur des rayures et leur profil donnaient au projectile une vitesse initiale importante et une mise en rotation rapide.il se maintenait ainsi trés bien sur une trajectoire aérienne par ailleurs assez plate. la chambre de combustion est a double tronc de cone.un frein de bouche a double coupelle de réflexion des gaz limite l effet des energies du recul. l obturetion est réaliée par une culasse a coin coulissant vers le bas , automatiquement a l ouverture et au réarmement .la piéce est installée dans un large l berceau qui porte les deux tourillons d élévation et sur lequel est fixé le masque semi-sphérique blindé. en parti gauche du berceau est agencée la lunette de tir et a droite la mitrailleuse MG34 coaxiale. sur les ausf D la lunette ( TZ.F.12) est binoculaire mais sera monoculaire ( T.Z.F.12 a ) sur les modèles suivants. l ensemble mobile ( canon et boite de culasse ) est relié au berceau par un " lien élastique " composé d un frein de tir hydraulique et d un récupérateur a colonne de ressorts. le frein de tir , qui absorbe les énergies mécaniques des gazs de combustion peut contenir deux types de fluide ( normal et grand froid ) désignés " fluide brun"et "fluide arctique" le second de composition différente mais surtout de viscisité moindre de maniére a résister aux gels importants. par la suite,un liquide unique sera employé et une indication peinte sur le corps du cylindre de frein en fera état.en ordre de route, une saisine interne fixée sous le toit de tourelle bloquait le canon en lélévation (0°)la piéce correctement alignée,unpetit volant situé au -dessus a droite du canon est vissé pour accrocher les pontets portés par le toit.une extention de la saisine permet de bloquer la piéce avec 15°d élévation.une seconde saisine mécanique bloque la rotation de tourelle.deux petits volants sont vissés dans leurlogement accroché a la circulaire et bloqunt cette derniére en prenant directement appui sur le secteur denté. a l exterieur, une derniére saisine,appelée " chaise de route " bloque la piéce lorsque elle est mise en position autour de la volée du tube . au repos elle est repliée sur le toit avant milieu de la caisse.
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#Posté le mercredi 26 mars 2008 06:41

Modifié le mardi 08 avril 2008 16:02

L AMPLACEMENT DE LA TOURELLE

Cette tourelle était arrondie et l'avant recouvert d'un masque incurvé. Le plancher tournait avec la tourelle. La rotation était hydraulique.
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#Posté le mercredi 26 mars 2008 06:54

LE CANON

Son canon Rheinmetall Kw.K.42 long de 70 calibres, de 75 mm,
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#Posté le mercredi 26 mars 2008 11:48

Modifié le mercredi 26 mars 2008 12:49

LE CANON (suite )

Son canon Rheinmetall Kw.K.42 long de 70 calibres, de 75 mm, procurait à ses munitions une vitesse initiale inégalée jusqu'alors, environ 940 m/s, permettant une bonne précision à longue portée et de fortes pénétrations des blindages adverses. Bien que d'un calibre très courant à l'époque, cette arme à la trajectoire très rasante, associée à un viseur TZF 12 puis TZF 12a, se révéla un meilleur canon antichar que le 88 mm KwK 36 L/56 (820m/s) du Tigre I. La tourelle, d'une masse de 7,5 tonnes sur son chemin de roulement de 1,65 mètres de diamètre, conférait à l'armement un champ de tir de -8° à +18° en azimut et 360° en site, la man½uvre étant commandée par un système hydraulique grâce à une pédale actionnée par le tireur, ou en secours manuellement, grâce à des manivelles. La dotation en munitions était de 79 obus. Une mitrailleuse MG-34 coaxiale permettait la défense contre l'infanterie adverse, suite aux leçons tirées de la Bataille de Koursk. Sur le Ausf A, une mitrailleuse de glacis servie par l'opérateur radio fut rajoutée. L'équipement radio comprenait, pour les chars de combat, une FuG 5 et une FuG 2.

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#Posté le mercredi 26 mars 2008 12:00

Modifié le mercredi 26 mars 2008 12:49

LA TOURELLE

le fonctionnement du canon est un peu complexe et nous allons ici le simplifier.lors du premier tir aucune énergie de combustion d un précédent coup tiré n est disponible et l automatisme d ouverture ne joue pas.le chargeur donc en arriére le levier manuel d ouverture de culasse . le coin descend et libére l entrée de chambre. dans le méme mouvement la mise a feu ( mécanique ) est automatiquement réarmée par un jeu de cannes. le coin est maintenu ouvert ( position basse ) par les deux branches d extracteur qui font alors saillie sur son passage. un obus est percu dans un caissons ou rack de la caisse par le méme homme qui l engage avec force dans la chambre .au passage , le bourrelet de la douille accroche les branches d extracteur et les force a se retirer,libérant le coin. sous l effet de son ressort de fermeture , il remonte et termine le forcement de l obus dans la chambre . le tireur actionne alors électriquement ( détente ) la mise a feu mécanique depuis son volant de pointage en hauteur. l impulsuion électrique libére le percuteur qui vient frapper l amorce de la douille sous l effet du ressort de percussion. la mise a feu est ainsi conduite a la charge propulsive qui explose.l obus guidé par les rayures dans lesquelles est engagée sa ceinture de forcement est propulsé dans l ame.les forces de décompression des gaz d explosion agissent également vers l arriére au travert de la douille.l ensemble mobile recule.ce mouvement est compensé et freiné par le déplacement de la tige de vérin du frein de tir hydraulique.le liquide , passant d une chambre a l autre du vérin par des orifices différamment calibrés freine de plus en plus le recule jusqu a ce que la piéce arrive en butée arriére.lors du meme recul, les colonnes de ressorts du recupérateur sont comprimées et emmagasinent ainsi l énergie nécessaire au retour en batterie.le lien élastique absorbe les energies résiduelles du tir afin que le systéme d arme ne subisse pas d altérations mécaniques ou de dépointages intempestifs.aprés dissipation complètedes forces des gaz, la puissance devient prépondérante et tend a ramener l ensemble mobile vers l avant.
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#Posté le mercredi 26 mars 2008 12:50

Modifié le mercredi 09 avril 2008 06:41

LA TOURELLE ( suite)

Dans la tourelle, le tireur avait son siège à la gauche du canon. Celui-ci était capable de percer à 1 000 mètres de distance un blindage de 140 mm. Il était muni d'un frein de bouche à deux stades (globulaire sur les 20 premiers exemplaires). La mise à feu électrique se faisait par pédale. La mitrailleuse coaxiale était commandée par le chargeur à partir de son siège situé à droite, par action sur une pédale.

Le poste du chef de char se trouvait en arrière et à gauche, en raison de la longueur de la culasse du canon qui séparait pratiquement la tourelle en deux parties. Son siège se trouvait à proximité du tourelleau, initialement de forme cylindrique à six fentes de visée (type D), plus tard de forme arrondie et doté de sept épiscopes. La trappe du tourelleau arrondi s'ouvrait à l'horizontale. Sur ce type de tourelleau monté pour la première fois sur la version A puis sur la version G, il y avait à l'extérieur un rail semi-circulaire permettant l'emploi d'une mitrailleuse pour la défense contre-avions ou contre des objectifs à terre. L'arme reposait sur un affût fixé sur ce rail par l'intermédiaire d'un support flexible.le pointage de la tourelle ( horizontal donc ) est réalisé par le tireur ,grace a une pédale qui actionne une installation hydraulique. un levier a droite du méme homme est basculé vers l avant ou l arriére afin de sélectionner le sens de rotation ( levier poussé avant pour rotation par la droite ) position verticale du levier débraye le systéme. la centrale hydraulique est entrainée par la transmition principale ( moteur ) via une boite d engrenages coniques et un accouplement a bain d huile.deux vitesses (mini et maxi)étainet disponible , proportinnelles au régime du moteur . la premiere rapide ( 2500 t/m) donnait un tour de tourelle ( 360°) en 17 secondes par la droite et 18 secondes par la gauche. la deuxiéme ( 1000 t/mn ) donnait un tour en en 93 secondes par la droite et en 92 secondes par la gauche . le pilote du char devait agir de concert avec le tireur pour régler la vitesse de giration. en secours , le pointage en direction peut etre effectué par une boite d engrenages en prise directe sur la circulaire de tourelle.un volant démonté en position " repos " doit alors etre engagé dans la boite d engrenages correspondante. ce méme mécanisme est utilisé pour affiner les pointages , hydraulique débrayée.la tourelle pouvait aussi de ce fait etre manoeuvrée alors que le moteur du char - dont le démarrage conditionnait la disponibilité de la commande hydraulique - était arrété ( par avarie ou si la discrétion était nécessaire).son maniement est difficile et un topur de volant ne donne que 0.36°de rotation. en élévation, le tireur dispose d un volant de pointage mécanique sur lequel est pratiqué le contacte électrique de mise a feu. aucun autre pointage en hauteur n existe mais ces mouvements son facilités par un équilibreur a resort , situé sous le berceau , il sert a compenser le poid de la masse déplacée en élévation.les éléments de pointage sont relevés par le tireur a l aide de sa lunette de visée directe. cette optique de type " reflex" ( qu il soit mono ou binoculaire )bénéficiait pour un champ de 15 ° d un grossissement de 5 et d un autre de 2.5 pour un champ de 30°les portées des canon ou la mitrailleuse y sont référencées,conjoitement avec la hausse nécessaire. un micromètre incluant le point de mire peut y etre déplacé. la trajectoire " plate" obtenue avec le canon de 7.5 cn permet une visée /pointage rapide la distance influant assez peut sur la " fléche"de ladite trajectoire. la réponse de tir en est d autant plus rapide.
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#Posté le mercredi 26 mars 2008 13:26

Modifié le mercredi 16 avril 2008 10:30

Ses archives (985)

  • LA ZIMMERIT mer. 26 mars 2008
  • ZIMMERIT  ( suite ) ven. 28 mars 2008
  • ZIMMERIT  (en 10 facon ) ven. 28 mars 2008
  • boussole de bord lun. 31 mars 2008
  • boussole suite lun. 31 mars 2008
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