dans sa nouvelle parution les thématiques n° 2 raymond giuliani nous entrainent dans les griffes du félin le plus célébbre de la seconde guerre mondiale LE PANTHER .l historique , les plans, les profiles les fiches technique tous est la.9 superbe montages originaux de maquettiste chevronner.et surtout un reportage sur la restauration du panther des invalides fait par nos ami du musée des blindés de saumur,( tous bénévol ) et oui faire de la maquette a l echelle 1 . ces possible.
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LE BEOBACHTUNGSWAGEN PANTHER .mon coup de coeur de cette revue ( peut etre aussi part ce que je connais l auteur de cette superbe maquette)
le panther d observation d artillerie était équipé d un FUG 5 stabantenne et d un FUG 8 sternantenne (antenne en étoile) ou plus communément antenne parapluie , le FUG 5 était destiné au communication a courte distances des régiments et des bataillons , alors que le FUG 7 était plutot réservé aux communications avec l aviation, le FUG 8 étant utilisé au niveau divisionnaire.le canon de 7,5 cm est remplacé par un canon factice plus court afin de permettre l instalation des télémetres et des périscope dans la tourelle? le char avait pour seul et unique défence qu une MG 34. sous rotule monter dans la tourelle.l équipage se composait de quatre hommes. le chef de char ,l observateur ,le radio, et le pilote. il ne fut construit qu un seule et unique tourelle monter sur un chassis de panther auf .D en 1943.
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tout en assurant le camouflage et la sécurité des unités,il était aussi indispensable de laisser la route dégagée pour la progression d autre unités.les unités a l arret devaient etre préte a se remettre en route ou a combattre le plus rapidement possible. les équipage devaient faire immédiatement le point complet sur l état du moteur et des chenilles , mais aussi placer des guetteurs pour les attaques aériennes, surtout sur le front ouest.en cas de panne, le véhicule devait si possible évacuer la route et rechercher un couvert. l emplacement était marqué pour les unités de dépannage tandis que les autres véhicules continuaient leur progression. l équipage devait arborer le drapeau panne,cammoufler le véhicule et assurer sa protection pendant que le sous-officier de maintenance venait faire un diagnostique. si la panne était réparable, le véhicule poursuivait sa route et reprenait sa place lors de la prochaine halte. si un dépannage était nécessaire, il fallait attendre pour ne pas bloquer la route.
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le passage d obstacle majeurs exigeait une coordination accrue. c est le cas pour les cours d eau , surtout s il faut utiliser un gué ,un ferry ou un pont du génie ayant une capacité d emport limitée. la traversée du cour d eau par un véhicule implique une vitesse réduite, des intervalles plus grands et parfois la nécessité de traverser sur une seule voie.cette manoeuvre délicate voyait la mise en place d une forme spéciale d organisation. une zone sous commandement unifié était mise en place ( gerwasserzone). son commandement était souvent attribué au chef des unités du génie engagées dans l opération. dans la mesure du possible, les piéces antiaérienness couvraient le franchisement.avec des délais d attente parfois assez longs,il était important de prévenir les unités le plus loin possible pour qu elles puissent faire halte dans de bonnes conditions et adopter la formation la plus adaptée au franchissement.des panneaux de signalisation et des postes de controle successifs étaient ainsi positionnés le plus loin possible du cour d eau,normalement relié par une filiére avec le commendement de la zone. l unité reprenait sa vitesse de déplacement normal quand le dernier de ses véhicules avait traversé. dans le cas de l utilisation d un ferry, des zones de stationnement devaient etre prévues sur l autre berge.
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la reconnaissance,la protection et le marquage du ou des itinéraires revétaient une importance capitale, il était aussi vital d assurer la mobilité des troupes avec notamment l action des unités du génie en téte de marche pour dégager les obstacles et des unités antiaériennes positionnées aux passages étroits et aux ponts. pour d avantage de discrétion ,les communications étaient assurées par des motocyclistes jusqu au contact avec l ennemi.si l éventualité d une confrontation impromptue avec l ennemi ne pouvait etre entiérement écartée , une avant-garde ( vorbut ) était constituée. si des unités de reconnaissance spécialisées était disponibles ; cette tache leur revenait tout naturellement meme si la manoeuvre restait assez différente des opérations de reconnaissance au combat.pour les avant-gardes les plus importantes , une compagnie de téte (spitzenkompanie) progressait une quinzaine de minutes a l avant du dispositif. ses éléments de combat ( kampfstaffel ) étaient toujours renforcés par des éléments du génie et étaient placés sous le commandement direct du chef de l avant -garde. en fonction des disponibilités, des armes d appui et de défence était de la responsabilité du commandant en chef ,mais c était le chef de l avant- garde qui étudiait le terrain et décidait de la route a suivre.des panneaux indicateurs visibles depuis un véhicule en marche étaient laissés tout le long du chemin. des points de controle avec des guides étaient positionnés aux point sensibles ,moins espacés quand le terrain était accidenté , de nuit ou par mauvais temps.
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SE QUI SIGNIFIE QUE MON BLOG EST EN PAUSE ........ ET REPRENDRA DEBUT AOUT.......... ( profiter en pour relire des anciens articles et lacher vos com.......) ET JE VOUS SOUHAITE A TOUS DE BONNES VACANCES.
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l avant - garde avait aussi pour mission de reconnaitre la zone de rassemblement qui servait de point de départ aux opérations de combat. elle envoyait généralement un véhicule dans chaque direction avec un officier ou un sous - officier.des leur retour ,une carte de la zone était établie.le commandant en chef déterminait alors le déploiment exact des ses troupes qui étaient guidées par ceux qui avaient effectué la reconnaissance sur le terrain.en cas de confrontation avec l ennemi, si celui -ci était nettement inférieur en nombre ou s il s agissait d une attaque aérienne , la colonne accélèrait le mouvement pour présenter une cible moins facile a toucher.la réduction de ces nids de résistance était laissée aux échelons suivants. si l ennemi était présent en force , les véhicules de téte deuvaient immédiatement ouvrir le feu , pendant que les autres se déployaient de part et d autre de la route.les pertes devaient etre ignorées et la priorité donnée a la survie de l unité.le chef de la colonne devait immédiatement évaluer la situation. les éléments de téte devaient se regrouper et contre - attaquer mais, si cela n était pas possible , ils devaient décrocher pour occuper des positions plus sures tout en restant en contact avec l ennemi pour le fixer.les unités non engagées entamaient une manoeuvre de flanc.mais s il n était pas possible d emporter la décision rapidement, l unité abandonnait sa formation de marche pour passer en formation d attaque rapide.
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les missions de reconnaissance sont capitales dans toute opération militaire. il existait une distinction entre la reconnaissance de zone ( spahaufkfarumg ) et la reconnaissance local ( gefecbtsaufklarung ). la première était conduite par le bataillon de reconnaissance blindé de la division ( panzeraufklarungs-abteilung) elle s adressait plus particulierement au haut -commandement et s incrivait dans une démarche plus large impliquant dautres unités et d autre moyens de reconnaissance comme l aviation ou les écoutes radios.la seconde était réalisée par les unités de combat pour reconnaitre leur secteur. certaines formations disposaient d éléments spécialisés dans la reconnaissance mais d autres,notamment au niveau du bataillon ou de la compagnie, devaient se contenter d utiliser des troupes experimentées.la reconnaissance était le type de mission le plus courammant demandé a la section ou au peleton car elle devait etre permanente pour mesurer en temps réel l évolution de la situation sur le téatre d opération. c était aussi de loin l activité la plus dangereuse quand elle consistait a déterminer l emplacement, la composition et l activité des forces ennemies.la reconnaissance du terrain était moins risquée méme si elle n excluait pas une rencontre avec des forces ennemies souvent engagées dans la méme mission.le plus étonnant est que le manuels d instruction des panzertruppen ne comportaient pas de chapitre concernant la renconnaissance , probablement parce que le char de combat était peu approprié pour remplir cette tache.
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les commandants de compagnie prenaient doc un peu trop souvent l habitude de considérer que les missions de reconnaissance ,étaient prises en charge a l échelon superieur. cela explique a contrario les succès de commandant de char comme otto carrius, qui n hésitait pas a prendre sa kubelwagen pour effectuer lui - méme ses missions de reconnaissance avant de faire bouger son tiger c est d ailleurs au cours d une mission de ce type qu il fut gravement blessé.les reconnaissances menées par une section de chars n étaient pas toujours les plus éfficaces en raison du manque de mobilité des panzer , surtout a partir du milieu de la guerre ,mais aussi de la faible visibilité qu il offrait. les chefs de chars se trouvaient souvent dans l obligation de sortir la téte de la tourelle,ce qui occasionnait de lourdes pertes. par contre , le panzer disposait de la puissance de feu nécessaire pour éliminer l ennemi et de la protection suffisante pour survivre aux premiers tir adverses. cependant , une bonne précaution consistait a leur adjoindre des panzer-grenadiere ou des pionniers sur véhicule blindés semi chenillés. dans tous les cas ,ces reconnaissances ne s éloignaient que de quelque kilomètres des éléments de téte.
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chaque panzer-division disposait d une abteilung de reconnaissance blindé et chaque abteilung de panzer d une section de reconnaissance (aufklarungszug ). au début du conflit ces unités etaient équipées de véhicules a roue puis de véhicules blindé semi chenillés , sd. kfz..250 et enfin de sd . kfz .251 plus spacieux. en régle générale elles étaient engagées pour des reconnaitre les axes d attaques ,les obstacles et les positions ennemies.mais une fois le combat engagé contre des unités blindées ou antichars , la faiblaisse du blindage de leurs véhicules les rendait peu utiles.les éléments de reconnaissance des panzer-divisionnen couvraient les flancs et assuraient la protection du poste de commandement ainsi que les voies de ravitaillement. s il était nécessaire de se replier, ils assuraient la reconnnaissance de l itinéraire.
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